ROAD TRIP DE  2 SEMAINES AU COSTA RICA

30 mars 25: nous prenons l'avion pour le Costa Rica. Nous décollons à 9h30 de PTY, l'aéroport international de Panama city. Lorsque nous arrivons 1h plus tard, il faut reculer notre montre d'une heure ce qui nous sépare de la France de 8 heures. Nous avons réservé une voiture près del'aéroport. Nous perdons 3/4 heure en partant dans la mauvaise direction. Heureusement, un policier nous indique la bonne route en direction de la côte Atlantique. Nous repassons les péages en sens inverse et suivons la direction de tortuguero grâce au partage de connexion du policier qui a permis de mettre le trajet sur mon téléphone. Tortuguero, qui peut se traduire par la « terre des tortues », est un village situé sur l'île du même nom, au bord de la mer des Caraïbes, dans la province de Limôn. Il a donné son nom au parc national de Tortuguero. Créé en 1970, Il protège la plage de nidification des tortues vertes la plus importante de l'hémisphère occidental. Il est recouvert d'une forêt tropicale luxuriante. À l'intérieur du parc se trouvent une série de canaux artificiels qui relient le port de Mofin au sud-est avec Barra del Colorado, à la frontière avec le Nicaragua. L'accès se fait uniquement par voie fluviale ou maritime, et tous les services commerciaux et administratifs utilisent les bateaux comme moyen de transport. Nous arrivons à l'embarcadère vers 15.30 et embarquons en bateau à moteur pour une croisière d'une heure en direction de l'île de tortuguero. On nous indique l'hôtel El Picaco que nous rejoignons après la traversée du village à pied. Nous allons de suite en bord de mer puis dans la piscine de l'hôtel avant d'aller prendre un cocktail et des ceviche au tree coffee house, en bord de rivière. Pour la monnaie, on utilise le colone (500colones valent 1 euro)


Le 31 mars 2025 : Nous nous levons tôt pour aller observer de 6 à 8h la faune et la flore de la jungle en barque avec pagaies. Il pleut depuis le début de la nuit. Nous sommes une dizaine d'aventuriers à braver l'ondée tropicale sous nos cirés pour nous faufiler avec l'embarcation dans les bras des rivières et observer les oiseaux, singes et caïmans. Les bruits de la jungle sont intenses et les singes hurleurs et les perroquets crient pendant toute la durée de la croisière. De retour sur l'île de tortuguero, nous prenons le petit déjeuner à l'hôtel Picaco puis nous nous reposons jusqu'à l'heure du déjeuner, en attendant que la pluie s'arrête. Nous mangeons au bord de l'eau, dans un petit restaurant sur le ponton duquel se prélasse un énorme iguane. Nous mettons nos chaussures de marche pour une balade dans le parc et finissons l'après-midi à la piscine. Nous avons rendez-vous pour une ballade à 18h pour observer la faune nocturne. Il s'agit d'une promenade à la torche où l’on observe des grenouilles de différents types, des serpents, un paresseux, des araignées...Nous finissons la journée au restaurant "taylors".


Le 1 avril 2025 : nous quittons en bateau tortuguero, récupérons la voiture au parking et partons en direction de la région de boca tapada où nous attend un écolodge. Sur la route nous faisons un stop à Guapiles pour déjeuner, passer dans un supermarché et acheter des mangues (3kg pour 2000 colones soit 4 euros). Nous passons par la capitale de l'ananas, Pital. Nous arrivons à 15h00 au maquenque ecolodge où un bateau nous attend pour traverser la petite rivière qui isole l'hôtel dans un parc naturel Nous profitons de la piscine et rencontrons un koati et divers oiseaux. L’hôtel est situé dans la réserve nationale de faune de Maquenque, en bordure de la rivière San Carlos.Il est entouré de 68 hectares de forêt tropicale, au sein desquels se trouvent des sentiers. La flore et la faune y sont très variées, ce qui en fait un endroit idéal pour les amoureux des oiseaux. Actuellement ont été identifiées plus de 592 espèces d'oiseaux


2 avril 2025: on nous emmène faire du canoë kayak sur el Rio de tres amigos à castelmare .il faut parcourir 12km sur le fleuve au milieu de la jungle pour rejoindre boca tapada village. On observe les singes exhibant leur agilité dans la cime des arbres, les iguanes et caïmans de toutes tailles, des oiseaux dont de nombreux martins pêcheurs. L’expédition se fait tranquillement pour apprécier la végétation luxuriante où se cachent des centaines d'animaux aux cris stridents et singes hurleurs. De retour vers 13h00, nous passons un long moment à la piscine puis prenons une barque pour nous frayer un chemin dans les méandres aquatiques qui traversent le parc de l'hôtel.


3 avril 25: Pierre et moi faisons une balade àcheval dans le parc de Maquenque Avec Carlos, un guide très sympathique, pendant que Jean et Florence profitent une dernière fois de la piscine.

Le check-out est à midi et nous reprenons la voiture en direction de Fortuna. Nous nous arrêtons dans un petit restaurant sur la route et arrivons à 15h à l'hôtel confort arenal, juste en face du volcan du même nom. Les bungalows sont mignons et la piscine magnifique. Nous allons au supermarché de Fortuna puis terminons la journée au termalitas del arenal, des bassins d'eaux thermales du volcan. C'est un agréable moment de détente. On y trouve plusieurs bassins avec différentes températures. Il y a même un bassin avec toboggans et 2 restaurants. Pour 4000 col/pers, on passe le temps que l'on veut dans ces piscines d'eau naturelle. La Fortuna est une petite ville située au nord-ouest de la capitale, San José. Il s'agit d'une porte d'entrée vers le parc national du volcan Arenal, comprenant 2 volcans. Toujours actif, le volcan Arenal est encore parcouru de coulées de lave. À son pied se trouvent des sources chaudes, qui alimentent la rivière d'eau thermale Tabacôn.Le volcan endormi Chato possède un lac de cratère et des sentiers qui traversent la forêt tropicale pour rejoindre la cascade de La Fortuna, dotée d'une piscine naturelle.

 


4 avril 2025 : Nous allons en direction de Arenal hanging bridges park ( misticopark) pour une baladedans la forêt à la découverte de nouvelles espèces de mammifères, oiseaux et grenouilles. La petite grenouille venimeuse rouge aux pattesbleues est la plus visible. Des pecaris sont parfois visibles ainsi que de magnifiques oiseaux. Nous traversons une vingtaine de ponts suspendus dans la Canopée. A midi, nous prenons un repas insolite au fortuna soda restaurante Rodriguez , un endroit où chacun écrit un mot sur un écriteau. Toutes les pancartes sont suspendues partout dans le restaurant. Sur de nombreux écriteau sont écrits " pura vida" , un mot pour dire au Costa Rica bonjour, ça va, au revoir ou encore merci. Nous faisons un petit tour de la jolie place très animée de Fortuna qui foisonne de commerces en tout genre, bars et restaurants.Nous achetons quelques vivres et allons à lapiscine puis retournons aux termalitas del arenalpour un dernier bain dans les sources chaudes où nous pique niquons. Il pleut beaucoup mais la pluie chaude n'altère pas ce moment fort agréable.


5 avril 2025 : nous prenons la direction du parc national du volcan tenorio. Nous entamons une balade de 2h30 dans la région du Rio céleste avec des cascades d'un bleu turquoise, des sentiers balisés et des belvédères.Ce parc est situé dans le massif montagneux volcanique de Guanacaste. Il abrite des forêtstropicales montagneuses de basse altitude, une forêt tropicale humide et une forêt de piémont très humide. Certaines des espèces végétales les plus notables comprennent des palmiers, des fougères, des broméliacées et des orchidées. Il est également possible d'y observer des capucins à face blanche, des fourmiliers, des pumas, des tapirs et des pécaris, ainsi que des espèces d'oiseaux exotiques, tels que des

trogons et des arapongas tricaronculés. Nous prenons un repas aux abords du parc et nous installons dans les bungalows des Cabanas los leguitos . Nous partons immédiatement en balade à cheval avec David, un charmant tico (nom donné aux costariciens). Notre première surprise est un stop à une balançoire qui nous projette à haute altitude au-dessus du Rio céleste. David nous emmène ensuite prendre un bain dans la rivière turquoise aux eaux tumultueuses. Florence et moi sommes tenues dans les torrents par notre guide. La pluie s'est invitée mais cela ne gâche pas ce formidable moment de partage.

Nous remontons à cheval et commençons des galops dans les chemins qui nous ramènent à l'hôtel, situé à 25km de la frontière avec le Nicaragua, Jumelles aux yeux, nous observons la foultitude d'oiseaux dans la belle végétation du parc hôtelier : urubus à tête noire, cassique de Montezuma, merle fauve....

David nous emmène pour une promenade nocturne avant le repas. Une belle observation de grenouilles, en particulier l'emblème du Costa Rica, celle aux gros yeux rouges. Le repas est une belle surprise avec des assiettes très copieuses et très bien préparées


Le 6 avril 2025 : Après un bon petit déjeuner de gallo pinto(riz mélangé à des haricots rouges), œufs brouillés, café et fruits, nous nous mettons en toute pour Monteverde. Sur la route de Celas, le paysage change complètement et prend des allures de savane africaine. On vient de quitter les cabanas et les nuages, la pluie et la verdure font place en moins d'une demi-heure à une pampa ensoleillée.Nous laissons derrière nous le tenorio et sa couronne humide pour avancer vers la côte pacifique du Costa Rica. Le début de l'été s'annonce par la floraison duTabebuia caraiba jaune (ipe) de la famille des cytises.

Notre suzuki vitara monte dans un paysage de collines surplombant le Pacifique. Malgré une altitude de près de 1000m, il fait chaud. Nous faisons un stop café au soda y mirador où j'achète un petit bonnet et des chaussons pour Romy. Nous arrivons à 12h30 dans notre magnifique chalet à Santa Elena. Nous allons faire un tour dans la jolie et tranquille petite ville avant de déjeuner au Jungle, un restaurant du centre. Pour le reste de la journée, nous profitons de notre chalet avec la vue sur la campagne et l'océan pacifique à l'horizon.


Le 7 avril 2025 : Nous nous rendons à l'aventure Park à 11 h00 pour une série de tyroliennes dans la jungle. Avec l'équipement adéquate complet et après un petit briefing sur la sécurité, nous voilà voltigeant au-dessus de la Canopée. La plus longue tyrolienne s'étend sur une longueur de 1.6km. Les 2 dernières s'appellent superman car on est en position horizontale dans le vide. La balade forestière s'achève par un saut de45mètres depuis une plateforme. Il s'appelle le saut de Tarzan. La montée d'adrénaline est au rendez-vous. Nous déjeunons au stella's café et rentrons profiter de la dernière après-midi dans le chalet et de son magnifique jacuzzi.


Le 8 avril 2025: nous roulons vers la péninsule de Nicoya pour nous rendre sur la côte pacifique. Nous traversons des paysages arides plantés d'arbres fleuris de la famille de chênes jaunes (Tabebuia caraiba ) roses (tabebuia roses) blancs ( tabebuia blancs) et de guanacaste, l'arbre emblématique du costa !Ica.Le faux caroubier ou douche d'or qu'on trouve en Asie fait également partie du décor. Un pont enjambe le bras de mer et nous mène vers la côte ouest. Partout, on vend des fruits des coco(pipa) et du Vino de coyol(vin de palmier). Notre logement, le Beach front Bahia, se trouve à Sàmara . C'est un village de la province duGuanacaste, sur la côte pacifique du Costa Rica.Il est connu pour sa plage principale bordée de palmiers, Playa Sàmara. À l'ouest, dans la baie de Cangrejal, un récif attire des raies et des poissons tropicaux. Dans la baie de Sàmara, la réserve faunique de l'île Chora, au sable rose, abrite des oiseaux marins. Au nord, Playa Buena Vista est un site de nidification de tortues marines. Les mangroves de l'estuaire de Buena Vista accueillent des crocodiles et des hérons.La chaleur est au rendez-vous et le climat est bien différent de la côte est du Costa Rica. Il fait 34 degrés alors que nous avons quitté 3 heures plus tôt le Monteverde sous 21 degrés.Nous déjeunons au restaurant de l'hôtel puis allons explorer le centre-ville de Sàmara . C'est un village balnéaire avec des boutiques de plage et surf et des bars et restaurants. Il nous faut 10 minutes à pied par la plage pour y arriver. Une dégustation de glace plus tard, nous faisons le check in de l'appartement numéro 11 partagé avec nos amis, pieds dans l'eau. Pas un nuage à l'horizon, un océan chaud, une légère brise ...voilà de quoi recharger nos accus en s'étendant sur le sable face à l’ile Chora que l’on peut rejoindre en canoë. Mais à ce moment de l'après-midi, on a juste envie de se poser en profitant du moment présent, au son des vagues et des oiseaux (dont le Microbate à long bec chantant dans les arbres entourant l’hôtel. Nous marchons jusqu'au bout de la grande plage et profitons d'un magnifique coucher de soleil avant de prendre un cocktail au bar de l'hôtel puis un dîner dans une gargote de Sâmara en bord de mer.

 

 


Le 9 avril 2025: Nous prenons à 9h la direction de la presqu'île de Nicoya et passons par Gicaral puis Paquera .Nous nous arrêtons dans un supermarché pour acheter le piquenique du midi. Il est 11 h30 lorsque nous arrivons à la réserve sauvage nationale de Curû, une réserve privée aménagée avec des bungalows en pleine forêt et en bord de mer. Apres être passés par un bureau pour réserver la plage de Quesera, où un maximum de 68 plagistes est autorisé, et le repas du soir, nous prenons un bateau à moteur. En 5 minutes, nous arrivons sur la plage presque déserte à cette période de l'année. Nous sommes 4 avec 2 femmes et un couple avec un enfant pour nous partager la plage deQuesera qui fait face aux îles d'Alcatraz et de tortuga. Des centaines de pélicans ont investi les lieuxet fondent en piquet sur les bancs de petits poissons . D'autres se reposent sur l'eau ou dansles arbres. Nous restons 2 heures à piqueniquer et nous reposer en admirant le balaiaérien des volatiles qui guettent le mouvement des bancs de poissons pour se rassasier.Nous aurions pu venir sur cette plage paradisiaque à pied en marchant 5 km mais avons préféré faire l'aller en bateau et le retour à pied.

 

J'ai un coup de coeur pour ce sanctuaire caché. Cette plage ressemble aux pages d'un magazine de voyage : son sable blanc farineuse son eau aigue-marine resteront à jamais gravés dans ma mémoire. Située sur la péninsule de Nicoya, elle fait partie du refuge faunique de Curû, ce qui signifie qu'il faut traverser cette zone protégée pour voir la plage de ses propres yeux et surtout s'inscrire sur un registre pour y accéder. Son eau magique et cristalline reflète le fond de l'océan, tandis que des dizaines de palmiers offrent de l'ombre pendant que nous profitons de ce moment incroyable. Il nous faut presque 2 heures pour revenir à pied à notre cabana 6, en rencontrant des oiseaux, des singes hurleurs, des coatis, des bovins et des biches. Tandis que nos amis regagnent la cabana 1, Pierre et mois décidons de continuer une balade vespérale dans les sentiers finca de monos et toledo , 2 des 8 chemins qui pénètrent dans le parc. Le repas est servi à 19h00 dans le réfectoire de la réserve animalière.


10 avril 2025: nous allons à puerto Paquera pour prendre le ferry, le Tambor IV en direction de Puntarenas, de l'autre côté de la presqu’île, ce qui nous fait gagner beaucoup de temps pour la prochaine étape, Quepos, porte d'entrée pour le parc national Manuel Antonio. Nous sortons de la réserve peu après 9 heures et nous arrêtons prendre le petit déjeuner dans un petit restau hors du temps, la cafeteria aramacao,dans une ambiance bohème. Le ferry pour Puntarenas démarre à midi. Nous passons devant les îles Jesusita,Cedros,Guayabo, Pan de azucar et San Lucas. Nous arrivons à 13.30 après avoir vécu à bord une ambiance salsa avec les ticos qui ont mis leur play liste et entonnent en cœur des chansons costariciennes. Nous prenons un petit repas dans le restaurant d'un hôtel au sud de Quepos et rencontrons 2 aras rouges sur les arbres en bord de la plage de sable noir. Il est 18h00 lorsque nous arrivons dans la ville de Quepos qui nous paraît être l'une des plus grandes villes traversees ces 10 derniers jours. Notre air BnB est juste incroyable, ultraconfortable.


11 avril 2025 : nous partons pour le parc national Manuel Antonio à 9h00. Manuel Antonio est un parc unique en son genre. On s'y balade entre forêt tropicale et mer. Le parc possède belles plages où il est possible de nager, une chose assez rare dans un parc national ! Même s'il s'agit du plus petit parc national du Costa Rica, avec moins de 20 km carré, c'est aussi l'un de ceux qui possèdent le plus de sentiers accessibles à tous. C'est donc un parc très facile à visiter par soi-même, à condition de planifier un minimum sa visite.Avec l'aide d'un guide équipé d'un objectif très puissant, on peut observer les paresseux dans leur environnement naturel se régalant de feuilles cecropia. Les singes araignées, les singes hurleurs, les titi à face blanche, les singes ecureuils...font partie du décor sur tous les chemins du parc.

Seul bémol, la quantité d'homo sapiens venant explorer ce joli parc. En sortant, nous avons juste le temps de pique-niquer sur la plage publique avant qu'une pluie tropicale s'abatte sur Quepos. Nous nous refugions dans le restaurant Aviôn de Manuel Antonio qui a été construit en utilisant la structure d'un véritable avion Fairchild C-123 de 1954. Le résultat de la conversion d'un avion en restaurant est un lieu insolite non seulement à l'extérieur mais aussi à l'intérieur. La carlingue est aménagée en bar restaurant et toute une structure en bois est construite autour de l'appareil pour augmenter considérablement la taille du complexe qui surplombe l'océan, offrant une vue panoramique extraordinaire. Apres avoir pris un dessert dans "el aviôn", nous rentrons nous reposer et sortons dîner à l'extérieur, au Mangata , un restaurant péruvien qui sert d'excellents ceviche.


Le 12 avril 2025: nous quittons la cocoon villas à10h30. Nous prenons la route en direction de San José

pour une ultime nuit au Costa Rica. Nous nous arrêtons à Jaco sa belle baie balnéaire. Il y a une compétition de surf ce jourlà. Nous nous installons autour d'une table en bord de plage pour grignoter puis nous baladons dans la petite ville au style bien américain. San jose, la capitale du Costa Rica est située dans la région de la Vallée Centrale, bordée par la cordillère de Talamanca au sud et par des volcans au nord. Nous arrivons à Alajuela, à 3km de l'aéroport international Juan Santa Maria à 17h00 et nous nous installons dans l'hôtel Santa Maria Inn pour la dernière nuit au Costa Rica. Nous allons dans le centre de Alejuela et dînons au restaurant animé Calle. Le lendemain, nous décollons en fin de matinée pour Paris


Le Costa Rica s'est révélé être un pays avec ses particularités. C'est un pays sans armée. Les 3/4du pays sont préservés et constitués de parcs nationaux et réserves naturelles privées. 98% de l'électricité est renouvelable (principalement : géothermie, hydrologie et éolien) 6% de la biodiversité mondiale est répartie sur son territoire. Le succès du Costa Rica dans l'indice 2024 peut être attribué à une combinaison de facteurs. L'accent mis par le pays sur la durabilité environnementale, les soins de santé publics et l'éducation assure à ses citoyens une haute qualité de vie. Souvent, l'augmentation des prix est due aux taxes à l'importation, qui peuvent parfois doubler le coût du produit. Sachant cela, il est préférable de profiter des produits locaux. Célèbre pour ses plages où viennent pondre les tortues, le Costa Rica héberge aussi au large de ses côtes, dauphins, loutres ou encore baleines et requins bouledogue. Entrer dans le monde costaricain, c'est avoir la chance d'ouvrir les yeux sur une biodiversité rare. Nous n'avons pas eu le temps de profiter de la beauté océanique du pays mais avons pu découvrir le pays d'est en ouest et profiter des merveilles naturelles que représentent les espèces animales dont le fameux paresseux et la jungle ubiquitaire. Au total nous avons parcouru 1300km en allant d'un parc à un autre pour entrer dans la jungle.